Un peu de repos... bien mérité ! [en cours]

Cette scène se déroule le jour où Josephine Donaldson est arrivée, le soir de ce jour-ci.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Pfiou ! Encore une journée terminée ! Ce ne sont pas tant les cours que certains élèves qui m'exaspéraient. Car il y en a, dans ma classe, ce sont vraiment des cas ! Enfin, je ne vais pas revenir là-dessus, au risque de m'emporter et de m'énerver pour un rien.

Après les cours, je suis allé à la bibliothèque rendre un livre que j'avais lu au moins dix fois. Mais je n'en ai pas repris. Aucun des titres ne m'attirait, et tous les autres je les avais déjà lus et je m'en souvenais encore - je pourrai même les réciter. Cela devient un tel ennui !

Ensuite, j'ai un peu déambulé dans le parc, mais la soirée arrivait rapidement, alors je suis rentré aux dortoirs. Je me suis mis dans ma chambre quelques minutes, avant de redescendre dans la salle commune. Je n'allais tout de même pas dormir à 19 h !

Là-bas, il n'y avait pas grand monde. Quelques élèves qui discutaient dans un coin, d'autres qui travaillaient sur les tables...

- Hey, Robert !

Emily, assise dans le canapé avec ses amies, me fixait avec son grand sourire habituel et me faisait un signe de la main. Je souris à mon tour et vint m'asseoir à côté d'elle. Nous avons entamé une discussion à propos des cours, de la journée qui venait de s'achever... Elle se redressa soudain et prit cet air qu'elle faisait à chaque fois qu'elle préparait quelque chose.

- Dis Robert, est-ce que cela te dirait de venir avec nous chercher quelque chose dans la cuisine ? On commence à mourir de faim !

J'hésitai un instant, mais finis par répondre, un sourire désolé sur les lèvres :
« Hum... non, désolé les filles, mais je n'ai plus trop envie de sortir... Mais vous pourrez me ramener quelque chose ?

- Si tu veux quelque chose, tu n'as qu'à venir le chercher, dit-elle sur un ton provocateur.

- Très bien, alors j'attendrai le dîner. »

Emily me regarda, le regard rempli de reproches, mais je ne dis rien de plus. Elle prit un air faussement boudeur et sortit avec ses amies chercher un en-cas dans la cuisine - je suis certain qu'elle avait retrouvé son sourire une fois le dos tourné. Tant pis, de toutes manières, je n'avais pas encore très faim.

L'ennui commençait à me gagner lorsque je vis une fille monter les escaliers. Je ne la reconnaissais pas, mais manquant de compagnie, je n'allais pas la laisser filer sans lui adresser un petit salut. Je m'écriai alors :
« Salut, tu es nouvelle ? »

Joséphine Donaldson

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La journée fut longue, fatigante et très difficile pour moi... Pour une première journée ce n'était pas vraiment extraordinaire, je ne m'attendais point du tout à cela pour l'ambiance de l'Institut X, une prestigieuse école plutôt cachée du monde.

Jusque-là je n'ai trouvé aucune trace en rapport avec mon grand-frère. Il me manquait cruellement depuis des années, ô combien de temps devrais-je supporter son absence, ne pas voir son visage fraternel cela me mit mal au cœur.

Suite à la rencontre du directeur qui... était étrange et possédait quelque chose de très puissant en lui dont je ne parviens toujours pas à distinguer sa mutation, enfin je n'avais pas entendu quel était son pouvoir. Ce qui était sûr, c'est que cet homme était gentil et avait l'air généreux, contrairement à la première personne que j'ai rencontré pour la première fois au sein de l'établissement.

Je ne saurais comment raconter ma journée à mes parents au téléphone. J'ai beau réfléchir de tout préparer ce que je devais leur dire mais ma tête était tellement embrouillée que je finis par oublier de les appeler. Une idée en tête était m'allonger sur un bon lit.

J'avais longé les longs couloirs en bois interminables que j'ai failli me perdre dans la journée. C'était un vrai labyrinthe.

Une fois entrée dans la pièce qui était la salle commune. Une salle pour les étudiants je pense. Je ne fis pas attention aux inconnus qui m'entouraient, pensant qu'ils étaient tous comme le garçon du matin. Au moment où je touchais la rampe de l'escalier pour monter, une voix masculine légèrement grave mais soignée m'interpella.

- Salut tu es nouvelle ?

Je dis un bon pour me retourner vers la source de la voix. Il s'agissait d'un jeune homme au visage jovial installé sur le canapé, situé à côté de l'escalier. Ce jeune homme n'avait pour rien au monde l'air d'avoir des idées noires. Il avait l'air sympathique. Je descends tout doucement en lui répondant, enfin en balbutiant plutôt :
« Euh... Bon... Bonjour ... enfin bonsoir... que... que... Oui... »

On avait l'impression que j'allais avoir un hoquet.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

La nouvelle avait l'air complètement déstabilisée, la pauvre... Mais je n'ai pas pu empêcher un petit rire d'amusement lorsqu'elle me répondit en bredouillant quelques mots. Je lui fis un grand sourire tout en lui disant, mon rire une fois passé :
« Ne t'inquiète, je ne vais pas te manger ! Je m'appelle Robert Cummings, et toi ? »

Je ne voulais pas la brusquer, mais maintenant que je lui avais adressé la parole, je voulais en savoir plus. Elle avait l'air timide, mais sympa. J'ai hâte de découvrir comment elle s'appelle...

Josephine Donaldson

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Le jeune homme souria sans effort montrant ses belles blanches. Quel ravissant jeune homme mais ma fatigue m'empêcha de le complimenter... Il a désigné son nom et demande le mien.

« Jo.... Joséphine Donaldson », répondis je timidement.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Alors elle s'appelait Joséphine. C'est le prénom d'une impératrice ! Et je trouve que cela lui allait comme un gant. Je souris à nouveau.

« Enchanté Joséphine ! »

Je me mis plus à l'aise dans le fauteuil et lui proposa, d'un air enjoué :
« Si tu as envie, tu peux venir sur ces fauteuils, ils sont super confortables ! »

Josephine Donaldson

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Il était ravi de faire ma connaissance. C'en était de même pour moi. Enfin une personne si je dirais normale, sans compter le professeur X. Il me proposa de s'asseoir sur le canapé qui était confortable.

J'acquiesçai poliment et le rejoignis, m'installant à côté de lui.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Elle accepta de venir me rejoindre, puis s'assit dans le canapé à son tour. Je me tournai vers elle.

« Tu as vu, ils sont confortables, n'est-ce pas ? »

Je regardai la petite table et en voyant qu'il n'y avait rien à grignoter, je me retins de lui proposer à manger.

« Alors, comment trouves-tu l'Institut Xavier pour le moment ? »

J'étais curieux de savoir quels étaient ses ressentis à son arrivée. Je me souvins alors du jour où j'avais mis pour la première fois les pieds ici. C'était au mois d'octobre, il y a deux ans. Je me trouvais devant le grand portail, la lettre du Professeur X à la main et accompagné par mon père. J'étais encore hésitant, et ne savais trop où aller. Nous sommes rentrés dans le bâtiment principal, et on a commencé à nous dévisager - c'était assez gênant. Mon père, émerveillé, n'arrêtait pas de regarder dans tous les sens. Nous n'avions pas attendu longtemps, car à peine quelques minutes plus tard, un homme en fauteuil roulant s'est avancé vers nous et nous a accueillis. C'était donc lui, le Professeur Xavier. Il avait l'air sympa. Il discutait avec mon père tandis que je regardais les autres élèves aller et venir dans les couloirs. Puis mon père est parti, et je suis un peu resté avec le Professeur qui m'a amené jusqu'aux dortoirs, où j'ai pu poser mes affaires. Je me souviens que la première chose que j'ai faite ensuite, ce fut d'aller à la cuisine. J'avais tellement faim après le voyage !

En tout cas, l'Institut Xavier est un endroit vraiment charmant, et je suis heureux de pouvoir y étudier. J'ai rencontré des personnes plus ou moins sympathiques, qui étaient aussi comme moi. Des mutants - au début, je trouvais ce mot très bizarre, mais avec le temps, disons que je m'y suis habitué.

Et puis aujourd'hui c'est elle qui va découvrir peu à peu cette école. J'espère qu'elle s'y plaira comme moi je m'y suis plu.

Josephine Donaldson

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Comment lui répondre rapidement ? Je ne voulais pas me montrer impolie mais j'étais épuisée et engager une conversation à cette heure-ci ne me donnait aucune motivation. Le canapé était plutôt confortable en effet mais en une demi-heure j'aurai vite mal au dos.

« Eh bien... Comment dire... Un peu bizarre enfin je ne sais pas trop pour l'instant... » dis-je avec doute.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Apparemment, ma question l'avait dérangée. Elle me jetait des petits regards hésitants, baissait et levait les yeux en permanence. Elle trouvait l'Institut... "bizarre" ? Bon, en même temps, elle vient à peine d'arriver, elle a certainement besoin de temps pour s'habituer, et je ne peux pas lui en vouloir. Je gardai toujours ce même sourire tout en lui répondant :
« Oh ne t'inquiète pas, tu vas bien t'habituer ! C'est toujours un peu difficile au début. »

Les personnes allaient et venaient dans la salle. Je regardais l'horloge, qui affichait 19 h 15. Le repas ne devrait pas tarder à être servi... Néanmoins, trop curieux à propos de cette fille, j'ajoutai avec -un peu trop?- d'enthousiasme :
« Surtout que tu as dû faire pas mal de route. Tu viens de loin ? »

Josephine Donaldson

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« Oh eh bien... Un peu oui ce n'est pas vraiment à côté de chez moi ici, on va dire... » dis-je avec épuisement.

D'ailleurs est-ce un mutant ou un humain ? Je fis une petite réflexion un bref moment, avec un air pensif. Étrangement je suis loin d'être dans les bras de Morphée, je lançai alors la conversation vivement :
« Dites-moi... Enfin... Dis-moi, es-tu un mutant ou un humain ? » questionnai-je vivement

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Je crois que c'est cela. Elle avait l'air complètement épuisée - la pauvre... Elle me parlait d'une toute petite voix, et semblait être sur le point de s'endormir. J'allais lui proposer d'arrêter la conversation et qu'elle aille se coucher, mais elle eut l'air de se reprendre et me demanda soudain si j'étais un mutant ou un humain. Heureux de pouvoir continuer à lui parler, je lui répondis :
« Je t'aurais bien demandé de deviner, mais cela risque d'être compliqué, alors je vais te donner la réponse... Je suis un mutant ! »

Tout de suite après, j'ajoutai :
« Et toi ? Attends, laisse-moi deviner... Tu es... une mutante ! »

J'avais une chance sur deux, et j'espérais être tombé sur la bonne. Mais quelque chose me disait qu'elle était comme moi, et j'ai une bonne intuition...

Josephine Donaldson

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J'esclaffai de rire joyeusement. Quelque chose en lui avait la même chose que moi, une espèce d'aura d'appartenance. Il était mutant, je l'avais senti étrangement, bien que je n'ai pas la mutation permettant de détecter les espèces des individus.

« Ah ah ! Je suis mutante moi aussi ! Et montre-moi ta mutation », demandai-je gentiment mais à la fois excitée.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

J'étais content -et satisfait- d'avoir attiré l'attention de cette charmante demoiselle. Elle semblait aussi curieuse que moi de connaître la mutation de l'autre, et cela me faisait plaisir. Je lui souris encore plus - si cela était possible - en lui répondant, le menton légèrement levé :
« La première fois que mon pouvoir s'est manifesté, j'ai pu réciter tous les noms du générique de fin d'un film à ma famille. Le pire, c'est qu'ils ne m'ont tout d'abord pas cru et pensait que j'inventais tout, avant de se rendre compte que c'était la vérité. Je te laisse donc deviner ce que c'est... »

Satisfait de ma petite histoire, je lui demandai sans plus attendre :
« Et maintenant, dis-moi quel est le tien ! »

Josephine Donaldson

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Je fus étonnée en apprenant la découverte de sa mutation, à vrai dire je n'y croyais pas au premier abord... Je lui répondis avec hésitation :
« Tu as une mémoire qui peut générer toutes les informations en un seul coup ? » demandai-je comme si je jouai à vérité ou vérité.

Maintenant c'était à mon tour de montrer ma mutation... Je regardai autour de moi et trouvai un petit coussin qui faisait la taille de ma tête. Je me levais et saisis le coussin. Je fais grandir sa taille à la taille d'un pouf ce dernier. Ensuite je le tendis à Robert.

« Tiens c'est pour toi », souris-je.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Je lui fis un clin d’œil lorsqu'elle répondit juste :
« Oui, c'est ça, je peux mémoriser tout et n'importe quoi en peu de temps. C'est pratique - surtout pour les cours ! »

J'étais tellement impatient de découvrir son pouvoir ! Pouvait-elle contrôler un des éléments ? Ou bien avait-elle une force surhumaine - ce qui m'étonnerait beaucoup ?! Ou bien... Elle se leva et se saisit... d'un coussin ?! Que voulait-elle faire avec ce coussin ? Je n'eus pas à attendre longtemps avant de connaître la réponse. En quelques secondes à peine, le petit coussin devint un GRAND coussin. Waouh, elle pouvait faire grandir les objets !! Je trouvais ça impressionnant... et trop classe ! Elle s'avança ensuite vers moi, et me le tendis. Pour moi.... ? Je bredouillais quelques paroles du style :
« Oh.. merci.. c'est... c'est gentil ! »

Je me sentais tout ridicule à parler comme un enfant de 4 ans, mais ça me touchait, étrangement. Je me ressaisis rapidement, puis je pris le coussin dans mes bras.

« Ton pouvoir est super cool ! J'adore ! »

Puis je rajoutai, tout en fourrant ma tête dans cet immense coussin :
« Je vais pouvoir bien dormir ce soir grâce à toi ! Il a l'air confortable en plus ! »

Josephine Donaldson

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Je rougis soudainement, je me mis vite mal à l'aise... Je repris mon côté gauche :
« Je.... Je t'en prie je suis contente que cela fasse te plaisir et... aussi je peux rétrécir les objets. Mais ce n'est pas tout ! »

J'ai trop parlé.... Soudain l'homme du matin me trottait par la tête, je me demandais bien si il était connu dans l'établissement, je demandais alors à Robert à propos de ce garçon :
« Euh dis moi est ce que tu connais le garçon aux cheveux noirs avec des cernes, aux yeux bleus perçants et qu'il se comporte de manière indécente... »

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Elle dit qu'elle peut aussi rétrécir les objets. Ah vraiment ?! Et ce n'est pas tout ?! J'ai vraiment hâte de découvrir tout ce dont elle est capable ! Soudain, elle changea de sujet - oui, comme ça -, et me demandais si je connaissais un garçon dont elle fit la description. Oh non... Parlerait-elle de lui ? J'espère que non... Mais mon intuition ne me trompe jamais. Des cheveux noirs, des yeux bleus tellement perçants que tu as l'impression qu'il va te projeter en arrière, arrogance totale... Ce ne pouvait être que lui. Je grimaçai légèrement en lui répondant :
« Malheureusement, je pense effectivement savoir de qui tu parles. Mais je te préviens, il n'est pas très... fréquentable. »

J'insistai particulièrement sur ce dernier mot. Oui, s'il y avait bien une personne qu'elle ne devait pas fréquenter, c'était ce type. Il est sans gêne, grossier, impoli... enfin, le gars sur lequel il ne vaut mieux pas tomber. Cela ne m'étonnerait même pas de savoir qu'il a fait quelque chose de mal, car une aura étrange émane de lui. Je rajoutai vivement :
« Tu peux me croire, j'ai une sorte d'intuition qui me permet de savoir si la personne que j'ai en face de moi est digne de confiance ou non. Et je peux t'assurer que ce Stanford ne fait pas partie de cette catégorie-là. »

Josephine Donaldson

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Robert me conseilla de ne pas fréquenter ce jeune homme sinistre. Pour être honnête je pense qu'il avait raison. Cet homme n'était point net du tout ! J'essayai alors de changer de sujet :
« Dis comment ils sont les profs ? » demandai-je avec curiosité.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Elle n'insista pas concernant ce Liam Stanford, et changea de sujet. Ce qui me soulagea également, car le simple fait de penser à ce gars me donne la nausée. Lorsqu'elle me questionna sur les professeurs, je repris mon grand sourire et lui répondis :
« En règle générale, ils sont sympas. J'aime beaucoup les cours avec le Professeur Xavier, quand il nous parle des mutants. Mais il y aussi d'autres cours qui sont biens, après ça dépend de tes préférences... »

Josephine Donaldson

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Je fus émerveillée et j'étais à deux doigts de briller mes yeux clairs.

« Wouah !! Finalement tu m'as redonné envie de découvrir encore plus l'Institut ! tiens tu es là depuis quand ? » demandai-je en lâchant petit à petit ma timidité.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Je fus heureux de voir que je lui avais donné envie de découvrir plus l'Institut. Et elle ne risque pas d'être déçue, il y a tellement de choses à voir ! Je lui répondis, sur un air toujours aussi enthousiaste :
« Je suis arrivé ici il y a environ deux ans, et je trouve cet endroit vraiment sympathique. Tu verras ! »

Josephine Donaldson

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« Deux ans !? » dis-je étonnée. « Tu avais alors quel âge ? » enchaînai-je des questions plus ou moins pertinentes.

Maintenant je refis ma soirée grâce à ce gentil jeune homme plein de jovialité et il possédait une capacité incroyable que nul humain pouvait le dépasser.

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

Maintenant, Joséphine paraissait beaucoup plus détendue, et elle semblait même apprécier discuter avec moi. Et cette impression était partagée. J'aimais aussi beaucoup parler comme ça, avec elle, d'un peu de tout et de rien. Je lui répondis :
« Oui, déjà deux ans... Le temps passe super vite ! J'avais 14 ans, à l'époque... »

Me rendant compte de ce que j'étais en train de dire, je laissai échapper un rire amusé avant de reprendre :
« On dirait que je parle comme un vieux ! »

Josephine Donaldson

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Je partageai mon rire avec Robert auquel je m’entendais déjà bien avec lui, après tout il n'était pas méchant et m'a accueilli convenablement pour ma première journée.

« Ah ! Ah ! Ça tu ne fais pas le poids de dire cela, jeune homme », fis-je un clin d’œil, « et... »

Je cherchai d'autres sujets à lui parler mais je ne savais pas trop où commencer...

ft. Cole Sprouse

Robert Cummings

On rigola un moment à propos de ma remarque. On se sentait super bien. J'aurais bien aimé qu'on reste ainsi encore longtemps, c'était tellement agréable... J'allais ouvrir la bouche quand j'entendis une voix familière derrière moi :
- Hey Robert ! C'était donc là que tu te cachais. On te cherchait partout !

Je me retournai et vis que mes amis, Lawrence et Victor, étaient là. Ils me regardaient d'un air faussement accusateur et avec un léger sourire aux lèvres.

- Le dîner est servi, tu sais, s'exclamait Lawrence.

- Mais on voit que tu es en bonne compagnie..., renchérit Victor, d'un air amusé.

Le temps était passé tellement vite que je n'avais pas vu l'heure du dîner arriver. Je leur adressai un sourire gêné en leur disant :
« Oui je suis désolé, j'étais en train de discuter... Je vous présente Joséphine, elle est nouvelle à l'Institut », ajoutai-je en me tournant à nouveau vers elle.

« Enchanté ! », répondirent en cœur mes amis.

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